L’internet de la haine : stopper le cyberharcèlement
Un soir normal après les cours, tu te détends en scrollant sur les réseaux sociaux. Tu partages un tweet, tu postes un selfie sur Instagram… et là, notification : “JeanMalin a commenté votre publication”. Au début, ça commence par une blague limite. Puis viennent des moqueries plus poussées, des menaces. JeanMalin envahit tes messages privés. JeanMalin encourage ses sbires à envahir ton Instagram, ton Twitter, et même ta commu Discord. JeanMalin menace de trouver ton adresse. C’est l’incompréhension, l’angoisse, les idées noires, parfois même le suicide… Le cyberharcèlement, fléau de l’ère moderne, est bien réel et peut toucher n’importe qui.
Cyberharcèlement, en suis-je victime ? Que puis-je faire pour me défendre ?
Modifier ses paramètres. Garder des preuves. Porter plainte et tant d’autres solutions encore. Le cyberharcèlement est passible d’une peine de 2 ans de prison et 30 000€ d’amende — 3 ans de prison et 45 000€ euros d’amende si la victime est mineure.
La plateforme de signalement PHAROS
Signale en ligne les contenus et comportements illicites de l’internet.
Le numéro à appeler
Ne reste pas seul(e), fais appel à des professionnels pour te conseiller et agir ensemble !
Pour en savoir plus :